L’idée a mûri pendant les vacances : puisqu’on rentrait, il fallait tenter quelque chose de nouveau pour ne pas avoir l’impression de « revenir à » ce qu’on avait quitté avec plaisir… Techniquement, c’est un investissement dans un enregistreur numérique qui peut capter les arrière-plans sonores – parce qu’un collège semble toujours imprégné de tant de bruits qu’il faut tenter autre chose que s’en défendre – arrière-plans envahissants dont on a parfois l’impression qu’une sorte d’acharnement collectif cherche à les (faire) taire – et que, de quelque côté de l’estrade on se trouve, on couvre de ses propres braillements ou récriminations, de pensées qui ont déjà eu lieu, affreuses, abouties, stériles.
C’est le même enregistreur qui me permet de capter d’autres hésitations dans les histoires racontées par Côme.
Le podcast baptisé « PodFreinet » démarre donc sur le site SPIP du collège, en même temps qu’un blog-miroir pour assurer des flux compatibles (Itunes et autres « podcatchers », agrégateurs de flux)…