Quand on s’amuse à prendre le temps de répondre vraiment une sollicitation commerciale, en jouant l’idiot, pour voir jusqu’où ça ira… Finalement, de fil en aiguille, on finit par s’apercevoir que, quand même, les emails qu’on recevait l’année d’avant sont détournés par des gens pleins d’intentions qu’ils qualifient probablement de bonnes – pourvu qu’elles soient intéressées. C’est à ce monde là, et surtout à cette langue-là, qu’on voudrait résister, en chatouillant un peu, au risque de se craindre donquichottesque.
Continuer la lecture de « La crise commence où finit le langage »