Ça pourrait n’être encore qu’un ciel, comme partout ailleurs il y a nuages et bleu (et le même jour sur terre, combien de vaines photos du couchant ?) ; on postule que la photo ne vaut que par l’ostentation de ce qu’elle rate : l’image d’après qu’on n’aura pas prise, l’écart entre toutes celles qui auraient pu être faites et dont la moyenne elle-même, par pixellisation et balance des blancs, serait invariablement infidèle.
Sons du crépuscule