Celui qui, lors de sa naissance,
Se sentit en sécurité, en grande épanouissance, Alors que la nature prenait l'eau, Et les feuilles tombaient de haut. Celui qui dans sa plus tendre enfance Se laissait emporter dans ses premières offenses Avec le destin comme défense. Celui qui, le temps d'une action, Changeait ses réflexions, Faisant un pas de géant, L'enfant n'était plus comme avant. Celui qui devint passionné, Rempli de gaieté Quand des idées bouleversantes Devinrent très gênantes. Celui qui après mainte et mainte récidive, Songeant un futur positif, L'enfant prit confiance Sur une vie enrichissante, En ignorant l'abstrait et l'approfondi. Celle qui, à travers mon esprit Est à l'origine de toute cette fantaisie Du présent et je l'espère à l'infini. Il a quarante ans, il aime la mer, A travers son odeur, sa magie qui embellit de sirènes jonchées d'îles aux rivages scintillants. Il voulait prouver la mère comme une amie, qui à travers sa colère approfondit ses découvertes. Son ignorance a fait sa force ainsi que celle de l'Amérique. Sur le voyage, en compagnie de son équipage Eprouvé par un certain mépris de l'Italie, S'est tourné vers l'Espagne. A quarante-cinq ans toujours les cheveux au vent Sans se préoccuper du temps. Sur une mélodie, il passait sa vie. A cinquante-cinq ans, victime d'une injustice inexpliquée Se mit à déprimer, Son destin devint dérisoire Sans connaître le présent savoir. |