Celui qui engendra, captura le commencement des fèves de cristal à l'aube de l'ère vital, enchaîna les ténèbres à ses pieds et craignit les êtres diurnes qui pouvait l'enivrer.
Celui qui en son sang portait le deuil des âmes fut hanté par les cris transpercés de rayons solaires d'errance, pour mériter son Eden, il le paya de sulfure étoilée d'innocence. Celui qui sur la terre brûlée de ses charmes a damné les érudits par l'opium, juste afin de pouvoir voguer comme une simple molécule d'hélium devint la chose du destin. Celui qui voile ses yeux de confiance et franchise ne pourra qu'ignorer l'existence de la hantise des temps révolus, resta un esprit inerte trouvant pour seul refuge ses pensées secrètes, sujet au souffle de la passion. Celui qui de chants éphémères envoûte les plus sages, signa le pacte de l'exil avec l'humain pour ne point détruire son équilibre. |