Pages d'écriture / Textes / Séance 1, 1997-98.

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     A partir d'Agir, je viens de Henri Michaux (extrait de Poésie pour pouvoir, in Face aux verrous, Gallimard, 1967).


     Se remémorer une situation dans laquelle, impuissant, on aurait voulu aider une personne qu'on aime. Imaginer précisément, ce que dans la souffrance où elle se trouvait elle a pensé, ce qu'elle a désiré, ses craintes, ses ennemis.
     Ecrire ensuite dix à vingt phrases, dans l'idée de "pousser la porte et d'entrer", qui soient des réponses à ce qu'on aura deviné, qui soient la guérison que les événements d'alors n'ont pu être.
     Utiliser la deuxième personne, mais essayer au moins une phrase utilisant la troisième (sur le modèle de "tes pensées d'élan sont soutenues" au passif, ou de "la fièvre t'abandonne").
     Ni l'identité de la personne à qui l'on parle ne devra pas être révélée, ni celle de celui qui parle, ni les rapports qu'ils entretiennent.


5 textes :

Aude   Mélanie   Stéphanie  

Vanessa   Vincent   ?


Quelques impressions à chaud sur cette première séance